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De VADSØ à HAMNINGBERG (1/3) (N)
Mardi 07/08/2018
Après nous être chaudement équipés à VARDØ, nous prenons la route touristique E75 pour HAMNINGBERG. Elle longe d'abord le Varangerfjord puis la mer de Barents.
Les 111 km de cette route touristique nous permettant de découvrir la partie Est de la péninsule de VARANGER
seront parcourus à petite vitesse pour profiter des paysages. Les arrêts photos seront nombreux, malgré le temps toujours aussi venté, froid, voir pluvieux par moment.EKKEROY est un ancien village de pêcheurs et de transformation du poisson. Cette activité n'existe plus depuis 1969 . Le petit port a néanmoins été restauré. Le village compte environ 30 âmes alors qu'avant guerre, ils étaient 300. En été, il se transforme et grouille de monde car c'est un endroit estival apprécié et un spot pour les ornithologues.
Après une visite et quelques photos, nous rentrons dans le bar-musée, dernière maison au bout du village.
Pour tenter de nous réchauffer, une soupe de poisson ... en sachet, lyophilisée, et un chauffage électrique qui a bien du mal car la pièce fait + de 5 m de haut.
De retour à l'extérieur nous avons rendez-vous avec les oiseaux : ici se trouve la seule falaise de Norvège accessible à pied.
Un chemin de 5,8 km permet de faire le tour de cette presqu'île et de découvrir quelques unes des 50 espèces d'oiseaux recensés ici.
Mais comme nous sommes tard dans la saison, il ne reste que 17000 mouettes tridactyles.
Ça piaille, ça crie, ça vous frôle ...
Mode plein écran : lancer la vidéo et cliquer sur le carré en bas à droite
Voilà un endroit où nous reviendrons plus tôt dans la saison (J'ai maintenant le matos photo qui va bien pour cela ;-))
Ce n'est pas désertique: de loin en loin il y des habitations. Celle-ci doit avoir depuis son séjour une incroyable vue.
Il ne manque qu'un rayon de soleil.
Tags : vadso, hamningberg, village, photo, bar, musée
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Commentaires
J'aime vraiment les couleurs sur les maisons. Ce "désert" me va mieux qu'un centre ville. Même un "centre ville d'oiseaux". Chez eux il me faudrait des bouchons d'oreilles.
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Sous un ciel triste certes, mais qui souligne la sauvagerie de cette contrée reculée !